Notes
Note for: Jean Baptiste Papin Lépine, (1659) - 15 AUG 1713 Index
Individual note: Capitaine du quartier du Lamentin (Martinique),
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son 4° fils capitaine de milice est DCD sans postérité.
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Note for: Jean Claude Papin Lépine, (1626) - 6 JUL 1667 Index
Individual note: Sieur,
Capitaine de milice au Lamentin (MARTINIQUE).
Originaire d'Anjou, arrivé aux Antilles vers 1647 (ou 1635)
habitant au Carbet en 1664.
il fut tué lors du siège par les Anglais de St-Pierre (Martinique) en juillet 1667.
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Note for: Marie Orange (d'), 7 JUL 1641 - Index
Individual note: seconde noces après veuvage.
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Note for: Lionel Hart, 9 APR 1906 - 19 DEC 1958 Index
Burial:
Place: Cimetière Montmartre,Paris,75018,France
Individual note: Sans descendance
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Note for: Jean-Baptiste Papin Lépine Dupont, 23 SEP 1730 - 24 DEC 1799 Index
Individual note: Jean-Baptiste et Marie Victoire eurent au moins 12 enfants,
capitaine de milice,
chevalier de Saint-Louis
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Note for: Jeanne Camille Des Camps, (1709) - Index
Individual note: habitante au Lamentin (Martinique).
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Note for: Jean-Charles Coudroy, 2 MAY 1705 - 12 OCT 1784 Index
Individual note: capitaine de milice, Le 5 juillet 1773 était commandant les milices du Moule (Guadeloupe)
chevalier de St-Louis, anobli en 1779.
La souche de sa famille avait formé plusieurs branches, répandues en France, à la Havane et aux États-Unis.
Notes
Note for: Nicolas-Léon Papin Lépine Dupont, 5 JAN 1759 - 1803 Index
Individual note: Ondoyé pendant le siège et baptisé enfin le 30 Avril 1761,
capitaine de milice,
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Note for: Léon Papin Dupont, 24 JAN 1797 - 18 MAR 1876 Index
Individual note: il fut envoyé vers 1809 aux Etats-Unis, dans une institution libre peut-être celle de M. BANCEL à New York; il y resta deux ans. Il continua ses études en France jusqu'en 1815, au collège de Pontlevoy près d'Amboise, ancienne abbaye bénédictine. Une plaque dans l'église rappelle son séjour.
Le jeune Léon put revenir alors à la Martinique mais retourna en France pour poursuivre des études de droit. Il mena à Paris la vie d'un riche jeune homme, reçu dans la bonne société, mais où il aurait déjà fait preuve de grandes qualités au point qu'on l'avait surnommé "le marquis des égards". A son retour à la Martinique, où il avait obtenu un poste dans la magistrature. Là aussi, une plaque sur la façade de l'église rappelle cet événement. M. DUPONT s'installa à Saint-Pierre, l'hôtel des Follets, sur les hauteurs de la paroisse du Fort, à l'extrémité de la rue des Bons-Enfants, que l'on atteint par le sentier de Monte-au-Ciel. Cet hôtel devint ensuite le séminaire colonial, dirigé par les Pères du Saint-Esprit.
Hélas, la jeune mère décéda le 1er août 1833.
M. DUPONT se décida en 1835 à quitter les Antilles et à se retirer à Tours, où la famille de MAROLLES possédait, dans le voisinage, le château de Chissay. Sa fille fut confiée aux Ursulines où la supérieure, Mme de LIGNAC, habituée à recevoir des jeunes créoles, avait déjà reçu sa mère.
A partir de ce moment, la vie de M. DUPONT fut entièrement consacrée à la piété, d'autant plus qu'il eut le chagrin de voir mourir sa fille Henriette en 1847. Elle avait 15 ans.
Il est difficile de suivre M. DUPONT dans ses nombreuses oeuvres pieuses. La plus connue fut alors la dévotion à la Sainte Face, toujours existante à Tours.
Il fut également mêlé, à partir de la redécouverte du tombeau de Saint Martin à Tours en 1860, à des projets de reconstruction de l'intégralité de l'ancienne basilique dont ne subsistaient que des éléments épars, projets qui, par suite de déboires politico-religieux, n'aboutirent que très partiellement, au grand désespoir des fidèles de M. DUPONT.